La pêche ? La forme ?
On m’a fait remarqué que je laissais tombé ce blog et que c’était pas trop normal. La fin de mon voyage approche et avant que je parle de mes conclusions sur tout ce que je devais faire ici, je vais reparler un peu de ce que j’ai fait.
Je vais commencer par la pêche.
Au mois de juillet, j’ai eu l’occasion de partir à la pêche avec mon ami Fukuda pendant une journée dans la région de Numazu situé au sud à plus de 3 heures de transport de Tokyo.
C’est une petite ville au bord de la mer, c’est très chouette. Ensuite, on passe dans des quincailleries de pêche pour prendre de l’appât et de l’amorce, c’est composé de mini crevettes et on part louer une barque.
Après disons 15 minutes de rame, de quoi s’éloigner un peu du bord, on rejoint un coin pour attacher la barque et se poser. Fukuda prépare le matériel et m’explique le maniement du moulinet, comment bien attaché la mini crevette et à quelle profondeur descendre l’hameçon. On commence d’abord sans amorce.
Je m’attendais à devoir attendre un peu et être patient mais ça mort très vite. Au bout de 5 minutes, les premières touches apparaissent et en fait ça n’arrête pas. Le plus souvent, les poissons arrivent à manger la mini crevette sans manger l’hameçon. La technique de l’accrochage de l’appât s’améliore et on ramène nos premiers poissons. C’est en fait un défilé de poisson qu’on ramène.
Après un petit moment, on commence à ajouté de l’amorce pour ramener du plus gros et jeter les petits. Et ça marche super bien !
Dans les poissons qu’on a ramené , voici la liste avec le mot en japonais et une traduction que j’ai trouvé :
- Kasago (カサゴ)- sébaste
- Kurodai (黒鯛)- pagre tête noire
- Tai (鯛) – dorade
- Shimaaji (シマアジ) – white travelly
- Saba (サバ) – maquereau
- Kaiwari (カイワリ) – carangoide equula
- Aji (アジ) – chinchard
On a fait un bon repas le lendemain. On a mangé ça de différente façon, en sushi, grillé, frit ou bouillie dans de la sauce soja. Un délice !